La Lune a rendez-vous avec Vénus le 9 novembre
Le matin du jeudi 9 novembre, le croissant de Lune sera très proche de la brillante Vénus (environ la largeur d’un doigt bras tendu) jusque dans les lueurs de l’aube. Mais elle continuera de s’en rapprocher jusqu’à faire disparaitre la planète derrière elle vers 11h (10h56 à Strasbourg, 11h06 à Bordeaux) pendant un peu moins d’une heure avant quelle ne réapparaisse comme par magie car émergeant de la partie sombre du limbe lunaire qui est invisible dans le ciel. Bien que ce phénomène se déroule en plein jour, il devrait être observable, très difficilement à l’œil nu sauf si le ciel est particulièrement transparent, mais plus facilement avec une paire de jumelles ou un petit instrument d’astronomie. Il suffira de pointer le croissant de lune qui doit être perceptible dans le ciel bleu mais très pâle.

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Comme tous les observateurs du ciel, nous savons que la principale difficulté pour apprécier une belle nuit étoilée (et tous les objets diffus qu’elle recèle) est la possibilité de nous prémunir de toutes les pollutions lumineuses produites par nos éclairages trop nombreux et trop puissants. Le but de l’ANPCEN est justement de préserver l’environnement nocturne et de réduire les nuisances lumineuses pour que nous retrouvions enfin de belles nuits noires.

Carte du ciel Memosky : il nous en reste un petit stock. Pour en commander, veuillez nous contacter.

Lever et coucher du Soleil
Date
Aube
Lever
Coucher
Nuit
1er novembre
6h32
7h37
17h47
18h52
15 novembre
6h49
7h56
17h30
18h37
30 novembre
7h05
8h15
17h19
18h29

Phases de la Lune
Phase
Date
Lever
Coucher
Pleine Lune
28 octobre
18h40
8h13 (le 29)
Dernier quartier
5 novembre
23h06 (le 4)
14h47
Nouvelle Lune
13 novembre
8h00
17h21
Premier quartier
20 novembre
14h20
0h39 (le 21)
Pleine Lune
27 novembre
17h06
9h38 (le 28)

Phénomènes célestes remarquables du mois (et planètes)
Nota : le mode d’observation proposé est le minimal mais il est évident qu’un équipement plus performant permet une meilleure observation (un phénomène observable à l’œil nu sera mieux vu avec une paire de jumelles, un autre accessible aux simples jumelles sera mieux appréciable dans un petit télescope).
Date et horaire(s)
Phénomène
Description
Observ.
09/11 4h-7h
conjonction
Le croissant de Lune (17%) est proche de la très brillante Vénus (environ 2°) dont elle se rapproche progressivement.
visuelle
09/11 11h10-12h49
Occultation
Depuis la conjonction du matin (voir ci-dessus), la Lune a continué de se rapprocher de Vénus et à 11h06 (horaire variant de quelques minutes suivant la position en France, 10h56 à Strasbourg) la planète disparaît derrière le limbe lunaire, presque à la pointe sud du croissant. Elle réapparaît un peu moins d’une heure plus tard (11h54) comme par magie car émergeant de la partie sombre du limbe, totalement invisible dans le ciel. Bien que se produisant ne plein jour, cette occultation peut être observée (si la météo est bonne) car Vénus est assez brillante pour être visible en plein jour, difficilement à l’œil nu mais plus facilement dans une paire de jumelles ou un petit instrument d’astronomie. Il suffit de viser le croissant de Lune, visible bien que très pâle dans le ciel bleu. Ces occultations ne sont pas très rares mais pas toujours visibles selon l’endroit où l’on se trouve. Par exemple la prochaine occultation de Vénus, le 7 avril 2024 sera visible en Amérique du Nord et Centrale mais pas depuis l’Europe, alors que la précédente, du 24 mars 2023 l’était au sud de l’Afrique et en Asie. La prochaine visible de France sera le 19 septembre 2025.
jumelles
20/11 18h30-0h30
conjonction
Le premier quartier de Lune (54%) est assez proche de Saturne (environ 4°) dont il s’éloigne progressivement.
visuelle
24/11 18h-4h30
conjonction
La grosse Lune gibbeuse (92%) est assez proche de la brillante Jupiter (environ 8°) dont elle se rapproche progressivement.
visuelle
25/11 18h-4h30
conjonction
Situation analogue à la veille avec la très grosse Lune gibbeuse (97%) assez proche de la brillante Jupiter (environ 7°) dont elle s’éloigne progressivement.
visuelle
Horaire(s)
Planète
Conditions d’observation
Observ.
Tout le mois
Mercure
Sa proximité du Soleil et sa faible luminosité rendent toujours cette planète difficile à observer mais en ce moment ce n’est pas possible avant la toute fin du mois où elle réapparaîtra brièvement dans le ciel du soir. ATTENTION AU SOLEIL !
non
Tout le mois, après 3h30 (1er) / 4h30 (30)
Vénus
La planète la plus brillante nous est revenue en septembre dans le ciel du matin jusque dans les lueurs de l’aube, dans de bonnes conditions d’observation puisqu’elle a atteint son élongation (écart par rapport au Soleil dans le ciel) maximum Ouest fin octobre. Comme elle se rapproche progressivement du Soleil, elle se lève de plus en plus tard et monte moins haut dans le ciel. ATTENTION AU SOLEIL !
visuelle
Tout le mois
Mars
Très loin de sa prochaine opposition (janvier 2025), Mars est trop proche du Soleil dans le ciel pour être observable.
non
Tout le mois, avant
7h(1er) / 5h30(30)
Jupiter
C’est le début de la période d’observation favorable de cette planète car elle est de plus en plus haute en début de nuit (12° le 1er, 28° le 30) et culmine au sud assez vite (58° vers 1h le 1er, 22h40 le 30). Il faut donc la laisser monter en début de mois ou attendre la 2ème quinzaine. Equipé d’une bonne paire de jumelles, ou mieux d’une petite lunette (ou télescope),il est assez facile de discerner ses 4 principaux satellites dits « galiléens » (car découverts par Galilée en 1610) : Io, Europe, Ganymède et Callisto, leur position variant en quelques dizaines de minutes.
visuelle
Tout le mois, avant
0h30(1er)/22h30(30)
Saturne
La période d’observation favorable de cette planète touche à sa fin car elle culmine au sud très tôt en début de nuit (32° vers 20h30 le 1er, 18h30 le 30). Il faut donc préférer le début de nuit et le début de mois. Pour observer ses anneaux, une paire de jumelles ne suffit pas (grossissement insuffisant) et il faut une petite lunette (ou télescope).
visuelle
2ème quinzaine, entre 17h50 et 19h30
ISS
La 2ème moitié du mois et jusqu’au 6 décembre, la Station Spatiale Internationale (ISS) peut être observée en soirée pour un (ou deux) passage(s), comme un point très lumineux traversant le ciel de l’Ouest vers l’Est, en environ 5-6mn. Les horaires suivants sont ceux du début de l’observation : (16) 18hh52, (17) 18h04, (18) 18h50, (19) 18h01 et 19h37, (20) 18h48, (21) 17h59 et 19h36, (22) 18h46, (23) 17h57 et 19h35, (24) 18h45, (25) 17h55 et 19h33. (26) 18h43, (27) 17h54 et 19h31, (28) 18h41, (29) 17h52 et 19h29, (30) 18h39, (01/12) 17h50 et 19h26, (02) 18h37, (03) 17h47 et 19h24, (04) 18h34, (05) 19h22 et (06) 18h31 . Ces horaires varient selon votre localisation géographique. Vous pouvez les vérifier pour votre site sur Heavens Above
visuelle
ATTENTION AU SOLEIL: il ne faut jamais braquer un instrument optique dans la direction du Soleil, même au lever ou au coucher, car c’est très dangereux pour les yeux (risque de brûlure de la rétine, indolore car la rétine n’est pas sensible à la douleur, mais qui peut conduire à une cécité irréversible). Pour observer une éclipse, des équipement spéciaux (lunettes spéciales, filtres pour les jumelles, lunettes, télescopes, objectifs photo) sont obligatoires

Principales constellations du soir et objets remarquables
Nota : le mode d’observation proposé est le minimal mais il est évident qu’un équipement plus performant permet une meilleure observation (un phénomène observable à l’œil nu sera mieux vu avec une paire de jumelles, un autre accessible aux simples jumelles sera mieux appréciable dans un petit télescope).
Le Cygne
(Cygnus)
Cette grande constellation de l’été évoque la légende de Leda, reine que Zeus a séduite en se transformant en cygne pour pouvoir l’approcher lors de son bain, avec la complicité de l’aigle. Sa principale étoile, Deneb (littéralement
« la queue » du cygne) forme le Triangle de l’été avec Vega et Altaïr. C’est une étoile très remarquable car très éloignée de nous : environ 3.250 années-lumière, c’est à dire que sa lumière qui nous parvient actuellement est partie
à l’époque où Ramsès II régnait sur l’Egypte… Pour briller aussi fort (à l’égal d’Altaïr qui n’est qu’à environ 16 al), elle est vraiment très puissante, de l’ordre de 9 millions de fois la taille du Soleil !!! La nébuleuse M27
indiquée ci-dessous est en fait dans la petite constellation du Renard mais elle est facilement située entre Albiréo (belle étoile double figurant les yeux du Cygne) et la petite constellation de la Flèche. C’est le reste d’une supernova
(explosion cataclysmique d’une grosse étoile à la fin de sa vie).
Observation aux jumelles* :
M27 (nébuleuse)
Le Capricorne
(Capricornus)
Cette constellation du Zodiaque est facilement reconnaissable à sa forme évoquant un peu un coeur. Elle est associée au dieu Pan qui, effrayé par Typhon, plonge dans l’eau pour s’enfuir. Comme sa transformation de bouc en poisson est incomplète, il prend une forme hybride (queue de poisson). Comme dans l’Antiquité, le solstice d’hiver se produisait alors que le Soleil se trouvait dans cette constellation (aujourd’hui, c’est dans le Sagittaire du fait de la précession des équinoxes), le tropique correspondant a pris le nom de Tropique du Capricorne (cercle parallèle à l’équateur où le Soleil est situé au zénith à midi à cette date).
Le Verseau
(Aquarius) et
Le Poisson Austral
(Piscis Austrinus)
Cette constellation du Zodiaque évoque Ganymède, jeune garçon enlevé par Jupiter pour servir l’eau à sa table. Le Poisson Austral (nommé ainsi pour le distinguer de la constellation des Poissons) nage en remontant le filet d’eau qui
s’écoule de la cruche du Verseau. On y trouve l’étoile très brillante (presque égale à Deneb en magnitude) Fomalhaut, « la bouche du poisson » en arabe. Des observations dans l’infrarouge ont démontré la présence autour d’elle d’un
disque de « poussière » indiquant que c’est une étoile assez jeune (200 à 300 millions d’années) susceptible de posséder des planètes en orbite (peut-être en cours de formation). Saturne est actuellement dans cette constellation.
Observation aux jumelles* :
M2 (amas globulaire)
Pégase
(Pégasus)
Constellation « vedette » du ciel de l’automne. Avec les constellations voisines Céphée, Cassiopée, Andromède, Persée et la Baleine (en fait le « monstre marin » pour les Grecs), il nous raconte la légende d’Andromède. Pégase est né de
la rencontre du sang de la Méduse (à la tête tranchée par Persée) et de l’eau de mer. Il est représenté dans le ciel jaillissant de l’eau et les constellations situées sous lui sont des éléments aquatiques (les Poissons et la Baleine).
Il est facilement reconnaissable au « grand carré » qu’il forme dans le ciel, vide de toute étoile brillante. L’amas globulaire M15 signalé ci-dessous est assez petit.
Sur la carte nous avons signalé l’étoile 51 de cette constellation (cette numérotation correspond à la cartographie de Flamsteed publiée au XVIIIème siècle par cet astronome anglais contemporain de Newton). En effet, c’est autour
d’elle qu’orbite la première exoplanète découverte en 1995 par une équipe franco-suisse à l’aide du télescope de 1,93m de l’Observatoire de Haute-Provence. Une exoplanète est une planète orbitant autour d’une autre étoile que notre
Soleil. On ne peut connaître son existence que par des méthodes indirectes, nos technologies actuelles ne permettant pas de les « voir » directement. A ce jour, nous connaissons environ 3.850 exoplanètes, mais environ 2.430 observations
sont en attente de confirmation, notamment certaines détectées par les sonde spécialisée Kepler (Nasa) et Corot (ESA). D’après des extrapolations statistiques à partir des exoplanètes découvertes, notre galaxie, la Voie Lactée, compterait
probablement au moins 1000 milliards de planètes.
Observation aux jumelles* :
M15 (amas globulaire)
Andromède
(Andromeda)
Fille de Céphée et Cassiopée, sa mère qui vanta tant sa beauté qu’elle attira le courroux de Poséïdon sur cette princesse. Vouée à périr sous les crocs du monstre marin, enchaînée à un rocher face à la mer, elle ne dut son salut qu’au
courage de Persée (et la rapidité de Pégase). L’objet M31 qu’on y trouve est tout à fait extraordinaire : c’est la grande galaxie la plus proche de nous, mais à près de 2,5 millions d’années-lumière, c’est l’objet le plus lointain
que l’on puisse observer à l’œil nu. Si notre vue était plus sensible, nous la verrions comme une très grande ellipse dans le ciel (environ 6 fois la taille de la pleine lune en longueur).
Observation visuelle* :
M31 (galaxie)
Persée
(Perseus)
Héros (en grec « le pilleur ») qui a sauvé la vie d’Andromède. D’après la légende, il tombe amoureux de cette princesse et obtient de son père Céphée la promesse de l’épouser s’il arrive à la sauver. La seule solution qu’il trouve
alors est d’aller tuer la Méduse, dont la simple vue « pétrifiait » (au sens littéral : « transformait en pierre »), et de lui couper la tête pour la mettre dans un sac. Le sang ayant coulé jusqu’à la mer donna naissance à Pégase
sur lequel il chevauche à tire d’ailes pour arriver juste au moment où le monstre marin (la Baleine) allait dévorer Andromède. En sortant la tête de la Méduse du sac, il pétrifie le monstre au moment où il jaillit des flots pour
saisir sa victime. Dans le ciel, Persée est représenté tenant à la main la tête de la Méduse figurée par Algol (l’Ogre) et le petit amas qui l’entoure. Il est curieux de noter que la variation d’éclat d’une étoile (en 3j environ
ici), mystérieuse dans l’Antiquité a pu conduire à la considérer comme malfaisante ou au contraire admirable (voir Mira de la Baleine). L’objet M34 indiqué ci-dessous est un amas ouvert dont la grande taille rend le repérage très
facile, presque à mi-chemin entre l’étoile Gamma d’Andromède (une double orange/bleue intéressante au télescope) et Algol.
Observation aux jumelles* :
M34 (amas ouvert)
Le Triangle
(Triangulum)
Cette petite constellation serait sans intérêt si on n’y trouvait M33, autre grande galaxie de notre groupe local, comme M31. Située à une distance comparable, elle est plus difficile à voir car elle se présente de face, donc avec
une luminosité beaucoup plus diffuse. Elle serait visible à l’œil nu dans un ciel de très bonne qualité (sans pollution lumineuse).
Observation aux jumelles* :
M33 (galaxie spirale)
Les Poissons
(Pisces)
Cette constellation du Zodiaque est inspirée de la légende d’Aphrodite et d’Eros qui, effrayés par le monstre Typhon pendant leur bain, se transformèrent en deux poissons attachés par la queue pour ne pas se perdre (c’est aussi de cette façon que les poissons étaient vendus à l’étal du marché dans l’Antiquité). Difficiles à discerner car leurs étoiles ne sont pas très brillantes, ils sont situés de part et d’autre du « grand carré » de Pégase. Le « V » qu’ils forment pointe presque juste sur la fameuse étoile Mira de la Baleine.
La Baleine
(Cetus)
Cette constellation était en fait le « monstre marin » (Cetus, d’où vient « cétacé ») mais les chrétiens et Jonas sont passés par là… Son étoile Mira (l’Admirable, la Magnifique), située en son milieu (et pointée par le « V » des Poissons)est
particulièrement remarquable car c’est une étoile variable à période très longue (11 mois environ) qui passe d’une grande brillance à son maximum (analogue aux 7 étoiles principales de la Grande Ourse) à une extinction progressive(invisible
à l’œil nu pendant environ la moitié de son cycle). Ce phénomène exceptionnel lui a valu son nom.
Observation visuelle :
Mira (étoile variable)
Eridan
Cette constellation très longue et sinueuse figure un fleuve mythique (parfois identifié au Pô, parfois au Rhône) dans lequel serait tombé Phaëton à la fin de sa course aventureuse le jour où il avait tenté de conduire le char de son père Phébus (le Soleil).
Le Bélier
(Aries)
Cette constellation du Zodiaque évoque le fameux bélier qui était couvert de la Toison d’Or que les argonautes allèrent conquérir avec le navire Argo (énorme constellation qui a été découpée en Poupe, Carène et Voiles au XVIIIème sièclepour des raisons pratiques). Jupiter est actuellement dans cette constellation.
Le Taureau
(Taurus)
Inspirée par la légende d’Europe, le Taureau (métamorphose de Zeus pour la séduire) est une constellation du Zodiaque. Elle est caractérisé par le V formé par l’amas très étendu des Hyades qui forme sa tête, avec Aldébaran représentant
son œil droit, d’une couleur orangée très caractéristique (c’est une « géante rouge », étoile en fin de vie). Ce rapprochement montre bien le caractère arbitraire des constellations car Aldébaran (65 al environ) est deux fois plus
proche que les Hyades (130 al environ) avec lesquels on l’associe. Les Pléïades (M45) sont un petit amas d’étoiles jeunes bleutées (50 à 100 millions d’années seulement) et, suivant son acuité visuelle, on peut distinguer de 5 à9
étoiles à l’œil nu dans ce groupe qui constitue un test. Le Taureau illustre bien l’évolution des étoiles : avec les « jeunes » Pléïades, la « vieille » Aldébaran, et la fameuse nébuleuse du Crabe (M1), véritable « cadavre » stellaire
issu de l’explosion violente d’une supernova observée le 4 juillet 1054 par les chinois.
Observation visuelle* :
Aldébaran (géante rouge), Les Péïades/
M45 (amas ouvert).
Observation avec instruments (lunette/télescope) :
M1 (nébuleuse, reste de supernova)
Le Cocher
(Auriga)
La référence mythologique grecque de cette constellation n’est pas très claire (multiples versions) et peut-être faut-il plutôt remonter à des sources antérieures pour y voir la référence au « char » que les babyloniens plaçaient à
cette endroit en nommant « cocher » son étoile principale. Aujourd’hui nommée Capella (la chèvre) elle est censée représenter la chèvre Amalthée qui servit de nourrice à Zeus. Comme la Voie Lactée traverse cette constellation, on
peut y observer de nombreux objets dont les trois amas ouverts signalés ci-dessous (dans l’ordre de leur place dans le ciel, de l’extérieur vers l’intérieur).
Observation aux jumelles* :
M37 (amas ouvert),
M36 (amas ouvert),
M38 (amas ouvert)